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Encore et toujours des changements

Encore et toujours des changements
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Encore et toujours des changements
31 août 2009

J'vais rentrer.

Finalement je crois que je vais rentrer

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8 août 2009

Être mal, et différent.

Je me complais dans la déprime. J'aime la mélancolie, le spleen. J'aime douter de moi. Car si je ne doute pas de moi, je n'avancerais pas. Les journées s'enchaînent toutes aussi différentes les unes des autres. Et j'ai peur de retomber dans une monotonie, a laquelle je ne pourrais échapper. Les soirées sont un moyen de s'évader et de rompre avec la monotonie du quotidien. Mon quotidien. J'ai peur a vrai dire. De recommencer encore une fois tout a zéro. Est-ce une chance ? Ma maladresse habituelle m'empechera de le ressentir.
J'ai peur.

2 août 2009

Semblants. Et Faux-Semblants.

J'aimerais... Tant de choses. Il y a si peu, j'ai eu envie de composer un poème. Mais un doute m'a pris. Suis-je un poète capable de produire des sonnets lisibles par tous ? Suis-je même assez bon pour avoir la prétention de les publier ? J'aime a me répéter que "Dans le doute, s'abstenir". Je m'abstiens donc de produire des poèmes sirupeux d'un adolescent attardé. Et j'écris donc, peut être est-ce mieux.
Et j'attends. Que tout change, encore et encore.
Et j'espère. De voir, séduire, enlacer. Encore et encore.
Et là, sans vous mentir, un sourire se dessine sur mes lèvres.
Car j'ai une chose. Parmi tant d'autres, et qui ne m'appartient pas forcément.
L'Espoir.

Tondu_pola

26 juillet 2009

J'tomberais presque de haut.

Certains jours j'tomberais presque de haut. J's'rais choqué par mes attitudes, mes envies et par moi-même. Je dis bien choqué, non pas dégoûté. Mais mes actes, manqués ou non, je me sens obligé de les repeser, repenser, refaire éternellement dans un ballet sans fin. "Si ,ce jour la, j'avais... Peut-être maintenant ce s'rait mieux ? " Après ces constatations là, j'ai tendance a pencher vers un fatalisme des plus primitif, mais des plus rassurant. En effet, si je me dis que le destin en a décidé ainsi, je regrette moins mes actes -mais sans me dédouaner d'une certaine responsabilité- et je repars de l'avant. Mais certaines fois, le fatalisme ne m'est d'aucun secours. Alors je continue a m'apitoyer sur mon sort. Je me morfond sur moi même et j'aime ça. Masochiste je crains.
25 juillet 2009

L'envahisseur

Je suis un envahisseur, un mec dont tu peux pas te séparer. Parce que j'suis chiant. Même Méga-chiant. Mais j'arrive a avoir des potos. L'problème c'est qu'c'est moi qui les vire les potes. J'peux en avoir ma claque d'eux. J'peux être le pire misanthrope de la planète et aimer la vie. J'assume mes putains de paradoxes, qui font de moi un hippie attardé, qui aimerait être un fashion-victim, un sentimental dénué de raison, mais en même temps pragmatique et sans illusions sur les rapports amoureux. J'suis sentimentalo-réaliste. Et j'm'aime comme ça. J'suis un Citadin qui n'aspire qu'aux grands espaces. Bref, un bipolaire quoi. Et l'article comme toujours finit a l'inverse du début. Du moins j'me comprends.
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19 juillet 2009

...

Je pensais, et je pense toujours, que de menues transformations physiques, restent le meilleur moyen d'aller de l'avant. Si le changement moral, émotionnel, met du temps a se mettre en place, la transformation physiques peut l'aider. Pour moi ces transformations passèrent par le biais des cheveux. De ma longue crinière de lycéen, je suis passé aux "J'veux" Frisés de l'étudiant. Mais cet étudiant, pressentant le besoin de se ressourcer, fit tondre sa laine. Et je me retrouve barbu avec un crâne tondu.
12 juillet 2009

Je revis.

Calme. Tranquillité. Esprit sain. Coeur à prendre. Les vacances ont déjà bien commencé, et c'est seulement dans ces deux dernières semaines que je viens de me rendre compte que je n'étais pas tellement vacancier. Dans ma tête, j'étais resté dans mon année universitaire. Mais cette année, bien que riche de tous points de vue, j'y restais attaché, vous devez bien vous douter pourquoi. Mais cette attache était malsaine, et m'entraînait dans un tourbillon de souvenirs qui auraient dû, tel une boîte de Pandore, rester enfermés au fin fond de ma mémoire. Malheureusement, ces souvenirs étaient beaux. Et la beauté, quoi qu'on en dise, on a du mal a l'enfermer. J'ai dû m'endurcir tel un maton, en enfermant ces souvenirs loin dans mon esprit. J'ai dû devenir insensible... et lointain. C'est un exercice périlleux. Car tu enfermes donc ton passé, mais tu t'enfermes un peu également. Je m'interdisais d'y penser, d'y rêver. Même d'en parler. Mais au fond tu sens que tu évolues, que tu n'oublies pas, et que quand tu y repenses, t'as un sourire sur les lèvres. "Ouais, tout ça, c'était cool." Et tu passes à autre chose. Tranquillement, on s'éloigne de tout ça, tout en restant proche. J'écris, je me livre. Je vis.
3 juillet 2009

Rock'n roll

J'vais bien. C'est dingue. J'en reviens pas moi même. J'suis rentré dans une vie au jour le jour qui me satisfait pleinement. Désorganisée, imprévue, fêtée, etc... J'suis en vacances, et j'ai du monde qui m'aime. C'est du bonheur a l'état pur. "Un café, des céréales, un jardin, les Rolling Stones et du soleil. Mais que demande le peuple ?" Dixit Jibus. C'est de p'tits trucs comme ça qu'on fait du bonheur. Hier soir c'était un verre de Rhum, une vieille voiture et des gens cool. C'est plaisant. Et puis on s'défoule, on jardine... C'est du bon. Vraiment. Alors, bon, ce blog, qui était parti sur un coup de déprime va se colorer.

29 juin 2009

Tutututu, papapapapapa !

Le soleil brille, encore une fois. J'suis paisible, ralenti même. C'qui est rare, j'dois l'avouer. Plaisir de Vivre, vraiment. On sait pas c'qu'on va faire de sa journée, et on s'lève a pas d'heure, on mange bien, on s'couche tard. Putain ! J'l'avais dit, m'fallait m'laisser un mois pour aller mieux. C'mois est passé, et moi j'suis bien. Et j'espère rencontrer, partager, communiquer. Bref, se renouveller, et d'un autre côté, se ressourcer. Donc, j'partage ma bonne humeur, et mon bien-être, chose qui s'fait rare ici.

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27 juin 2009

Singulier. Pluriels ?

La nuit tombe, couvrant d'une chape de velours le pays. Lui, il attend. Quoi ? Qui ? Pourquoi ? Pas de réponses satisfaisantes. Lui même ne sait pas. Il est tellement ancré dans ses contemplations chimériques qu'il en a oublié la raison de son attente. Alors, il rêve. Vagabonde au-delà des nuages, au-delà des étoiles. Et, surtout il espère, revenir entier. Voilà sa vie.

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